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Ateliers Courrèges

Né à Pau et formé à l'École des Ponts-et-Chaussées, le couturier André Courrèges collabore durant la première partie de sa vie avec le père d'Éric Larribau. Il se tourne naturellement vers ce dernier, en 1970, lorsqu'il ambitionne d'installer des ateliers de fabrication route de Morlaàs.

Banque de France

Le siège palois de la banque de France fait partie des derniers hôtels particuliers construits face aux Pyrénées, avant la création de l'actuel boulevard. Avant son acquisition par un richissime homme d'affaire américain, Franck Lawrance, l'imposante bâtisse appartenait au pasteur Schlumberger.

Castors

Le mouvement des Castors d' Aquitaine naît à Pessac en 1948. Dans un contexte de crise du logement, 150 volontaires font le choix d'une méthode originale  : l'autoconstruction collective pour accéder à la propriété de maisons individuelles. Cette initiative pionnière fera tâche d'huile et une loi sera promulguée, en 1952, pour officialiser la formule.

Cité Paul-Doumer

Engagé dans la lutte contre le logement insalubre, l'Office public d'habitations à bon marché de Pau lance, en 1932, l'ambitieux programme de la cité Paul-Doumer dont la réalisation est confiée à l'architecte palois Henri Maussier-Dandelot.

Domaine de Béterette

Au cœur de la Vallée Heureuse, se dresse le domaine de Béterette. En 1940, il est racheté par une institution publique et converti en centre de post-cure sanatoriale, avant d'être transformé en centre de reconversion professionnelle en 1969. Aujourd'hui, l'avenir de Béterette est en suspens.

Dufau-Tourasse

L'ensemble Dufau-Tourasse est le plus important plan de logements collectifs réalisé à Pau dans les années 1960. Il apporte alors une réponse à la crise du logement qui sévit partout en France et s'inscrit dans le cadre des anciennes ZUP (Zones à urbaniser en priorité).

Grand Hôtel

Inauguré en 1864, le Grand-Hôtel, premier palace palois, a reçu le gotha européen. Il est alors le cœur d'un nouveau quartier, dit «  des Anglais  », où les valétudinaires britanniques construisent pas moins de quatre temples protestants. Vieux navire abandonné, le Grand Hôtel retrouve aujourd'hui une seconde jeunesse.

Hôtel de Peyré dit « Hôtel Sully »

Cet hôtel particulier, situé juste en face de l'entrée principale du Château, est un parfait exemple d'architecture citadine d'aristocrates ou riches bourgeois du XVIIème siècle : son ostentatoire façade sur rue n'a d'égale que l'intimité du côté intérieur sur cour.

Hotel Gassion

L'ancien hôtel Gassion est un des héritages emblématiques de l'affirmation de Pau comme ville de villégiature au XIXème siècle. La façade sud ornée de colonnades et la singulière silhouette de cet imposant édifice sont à l'image de la grande modernité qui caractérisait ses équipements intérieurs lors de sa conception.

Immeuble Candilis

Érigé entre le boulevard des Pyrénées et l'avenue Léon-Say, l'immeuble d'habitation que signe Georges Candilis, en 1966, pour le compte de l'Office privé de logement familial perpétue, avec ses soixante-quinze appartements de luxe, la tradition du faste architectural née de la villégiature, aux abords du Palais d'hiver.

Palais Sorrento

De sa tour à l'esprit médiéval, la villa Sorrento domine le paysage palois. Appelée poétiquement «  Castet de l'Array  » - «  château du rayon de soleil  » -, cette demeure aux qualités architecturales exceptionnelles bénéficie depuis 2014 d'une protection au titre des Monuments historiques.

Pavillon Cécil

La majorité des maisons bourgeoises construites autour de 1900 ne se démarquent guère d'un éclectisme de bon ton qui s'était profondément ancré dans les habitudes paloises. Pau n'est pas une ville Art nouveau, et seuls quelques éléments décoratifs épars, dont le pavillon Cécil, dérogent à la règle.

Square Aragon

Bordant le boulevard des Pyrénées, le square Georges V et le boulevard d'Aragon sont une création majeure de la période de l'Entre-deux-guerres, reliant l'emblématique promenade au nouveau cœur de la ville qu'est la place Clémenceau.

Villa Cadaval

L'hôtel de Cadaval est édifié par Jean Dartigaux, président du Tribunal de Pau, éleveur de chevaux de courses et un des pères fondateurs de l'hippodrome de Pau. Elle connut ses plus belles heures de 1830 à 1860 quand son propriétaire épousa Caroline de Saint-Cricq. C'est aujourd'hui le siège de la Caisse des Allocations Familiales.

Villa Hutton

Construite pour Richard Lalor Power, ancien maître d'équipage du Pau Hunt, la villa Bilhère, également connue sous le nom de villa Power ou villa Hutton, est restée dans la même famille pendant 92 ans, de 1857 à 1949. Grâce à son nouveau propriétaire, elle retrouve son lustre d'antan.

Villa Nitot

À Pau, les villas doivent être «  anglaises  », un cliché devenu par trop envahissant. La villa Nitot, offre l'occasion d'aller au-delà des idées reçues, au risque d'ébranler quelques certitudes. Elle donne toutes les clefs pour comprendre une architecture ô combien savante et tout sauf univoque.

« Immeuble aux colonnes » Challe

Bénéficiant d'une implantation bien en vue sur le boulevard des Pyrénées, cet immeuble appelé par les Palois « Maison blanche » ou « immeuble aux colonnes », est imaginé par Henry Challe. Il affiche une grande modernité, caractéristique de l'époque Art déco à Pau.